« Le terrorisme est de retour »… Il ne s’agit certes pas d’un phénomène réellement nouveau: il suffit de penser aux Brigades rouges ou encore à la Fraction Armée Rouge, pour ne mentionner que deux exemples passés. Le mot « terrorisme » a d’ailleurs été utilisé dès le 18e siècle, pour dépeindre la « Terreur » semée par Robespierre et son Comité de salut public durant la Révolution française.
Nous assistons cependant à un rebond du phénomène terroriste, de surcroît sous une forme radicale. Divers facteurs (économiques, sociaux, géopolitiques, etc.) peuvent être à l’origine de cette résurgence, mais toute forme de terrorisme est rigoureusement inexcusable.
On ne saurait trop insister sur l’indicible horreur liée à ces attaques terroristes, sur la destruction de précieuses vies humaines et sur les tragédies associées. Dans ce post, je souhaite aborder l’impact socio-économique du terrorisme, donc porter un regard plus « matérialiste » sur le terrorisme.